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Viol à la tire

  • Johnny Bagarre - Concierge
  • 1 oct. 2014
  • 3 min de lecture

Je n’ai jamais publiquement communiqué sur la question, mais le féminisme dégoulinant du XXIe à la bobo-penseur, ça fait un petit moment qu’il commence à jouer avec mes couilles. Alors je m’lance. Comme tout le monde, j’ai au moins un camarade femelle qui est allé(e) voir le concert de Beyoncé et Jay-Z au Stade de France la semaine passée. Et paraîtrait-il que l’ex-avion de chasse faisait projeter en lettres énormes le mot « féministe » sur un écran géant, ce qui n’a pas manqué d’émoustiller la frange Y du public – majoritairement de l’ex-reproductrice en rut - garnissant les tribunes de cette molle enceinte.

Sans déc’. Ce serait-y pas plus facile d’être féministe quand on est un missile SA-17 Grizzly avec un string en or massif rangé dans un fion de 12 ? Paraitrait qu’elle revendique un féminisme moderne, sexy et sexualisé. La bougresse ! Et serti de diamants aussi ? Je m’en vais t’en glisser moi du féminisme sexualisé, et méf’ je suis un touche à tout, du genre limeur furieux qui fait dans l’exotique. En général je conseille toujours de prendre une foune de rechange, au cas où, en sus. Mais quelles sont vos revendications exactes mes poules? Je comprends pas. La vision a changé, à l’époque les frangines c’était au piquet, à s’occuper des mioches et à préparer le pain de viande. Puis on vous a donné la possibilité de bosser, et je dois bien reconnaître que vous vous êtes sortis les doigts d’la fouf’ et que vous êtes allé au gratin. Et c’est comme ça que vous êtes indépendantes, les filles! Mais aujourd’hui ? Ca vous dérange tant que ça qu’on jette un cil de temps à autre sur le matos ? Le harcèlement ?


J’vous le dit comme j’le pense, c’est simple : ya que celles qui cherchent qui finissent toujours par trouver. Et j’vous préviens, yen a il va falloir qu’elles arrêtent d’être bonnes sinon il va y avoir une épidémie de coquards à l’anus dans le secteur ! C’est pas de ma faute : dès qu’je croise une gerce j’peux pas m’empêcher de sauter dessus comme un petit gros sur un Twix.


J’ai fait une sortie de lycée dernièrement. Que voulez-vous ? A 15 piges ça a déjà le cul qui chante et la jupette au ras du frifri. C’est mon pote Gégé, qu’a une gamine en terminale, qui m’a retenu, mais moi j’étais déjà chibre au clair, prêt à sonner la charge héroïque! Heureusement qu’il était là l'Gégé, autrement je t‘en désossais une ou deux sur le trottoir façon Boucherie Jean-Pierre, et croyez-moi ç’aurait pas été du vol! Et les boules tunés dans un petit 36, c’est juste pour faire de l’économie de tissu aussi? Ma bite, ouais ! Tenez, l’autre fois, je bascule des kawas en terrasse avec une « copine ». Et vas-y qu’elle me surine avec son féminisme à la mords moi l’nœud (que j’lui dit), et elle me lance des « ouiiiiiiii, aujourd’hui ce qu’on demande, c’est par exemple d’arrêter de faire des différences entre hommes et femmes dans les rapports d’amitié ou professionnels, avoir des rapports sains quoi ». J’te l’ai chopé par le bras, on s’est éclipsés dans les gogues le temps d’un rapport sain, juste histoire de lui rappeler que la diff’ entre un homme et une femme c’est plus ou moins 20 centimètres. Alors mesdames, par pitié, détendez vous les muqueuses, et acceptez la nature telle qu’elle est, mal faite. Allez salut les petits poulets!


 
 
 

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